
Groupe Metallica
Album: Hardwired… To self-destrcut
Note: 8.5 / 10
Metallica, groupe américain qui a dès le départ a mis les bases d'un genre musical que ne laissera personne indifférant vient de mettre au monde son dixième album studio; « Hardwired… To self-destrcut ».
Les
quatre premiers albums, « Kill em all », Ride the
lighning », « Master of Puppets » et « And
justice for all » étaient sensiblement la même chose; soit du
« thrash metal » plus au moins bien produit, mais avec
une énergie qui a fait en sorte que plusieurs titres ont marqué au
fer rouge l'histoire de la musique. Malgré que ces albums fassent
partie du passé, ils en demeurent des classiques du genre.
Le
« black album », sorti en 1991 et produit par Bob Rock,
est venu changer les choses. Metallica a osé faire autrement pour la
première fois de son histoire.
Maintenant, avec les dernières productions, « Load », « Reload », « St-Anger » et « Death magnetic »; Metallica est arrivé à créer quelque chose de différent au lieu de répéter le passé.
Maintenant, avec les dernières productions, « Load », « Reload », « St-Anger » et « Death magnetic »; Metallica est arrivé à créer quelque chose de différent au lieu de répéter le passé.
Arrivé
à ce stade Metallica est devenu un artiste plus Mature et en
meilleurs position afin « Crée » quelque chose; de
devenir un véritable « Artiste » au sens propre du terme
et non pas seulement un groupe de musique « Heavy Métal ».

Le
nouveau disque, « Hardwired… To self-destrcut » ne fait pas
exception et c'est très bien comme cela. Certes, il reste toujours
des traces du passé « Thrash Metal », mais les nouvelles
pièces sont beaucoup plus matures et mieux réussies que sur leur
précédent disque « Death magnetic ».
À
mon humble avis, « Hardwired… To self-destrcut » est tout
simplement le meilleur disque « post-Balck album » que
Metallica est écrit; rien de moins.
Metallica: Halo On Fire
En
terminant, contrairement à « Death magnetic » que je ne
ré-écoute pas je reviens souvent à « Hardwired… To
self-destrcut ». Le meilleure pièce, selon moi, est « Halo
on fire ». Celle-ci se dégage de tout le reste.
Sebastien Tremblay